jeudi 30 avril 2020

Mandala

Mandala sur le plafond du temple Boudhiste de Bodhanath ( Nepal )


LE MANDALA 


Les mandalas sont des objets de dévotion dans l’hindou tantrique et dans le bouddhisme tantrique (bouddhisme vajrayana) et ils sont également utilisés dans le jaïnisme.

Ils peuvent être peints sur papier, bois, pierre, tissu ou même sur un mur. Dans certaines traditions, ils peuvent être reproduits dans des matériaux éphémères comme le sable coloré. Dans d’autres traditions comme le bouddhisme tibétain, le rôle des mandalas est si fort qu’il peut être une structure architecturale à part entière : des temples entiers sont construits selon des modèles de mandalas géants, c’est le cas du temple de borobudur qui, vu du ciel, forme un mandala géant.


Stupas à Kathmandu ( Népal ).


Des stūpas (structures architecturales) bouddhistes aux mosquées musulmanes en passant par les cathédrales chrétiennes, le principe d’une structure construite autour d’un centre est un thème commun que l’on retrouve en architecture. Les tipis amérindiens sont aussi des formes coniques construites autour d’un poteau qui représente ce qu’on appelle « axe mundi. »
Les Indiens Navajo et les moines tibétains créent des mandalas de sable pour démontrer l’impermanence de la vie. Un rituel de peinture sur sable Navajo peut durer de cinq à neuf jours !

Dans l’ancien Tibet, dans le cadre d’une pratique spirituelle, les moines créaient des mandalas complexes avec du sable coloré fait de pierres semi-précieuses concassées. La tradition se poursuit jusqu’à ce jour alors que les moines voyagent dans différentes cultures à travers le monde pour créer des mandalas de sable et éduquer les gens sur la culture tibétaine.

La création d’un mandala de sable nécessite de nombreuses heures (voir des jours entiers). Le design du mandala est marqué à la craie sur une plate-forme en bois. Ce processus méticuleux prend une journée entière.Chaque mandala contient de nombreux symboles qui doivent être parfaitement reproduits à chaque fois que le mandala est créé. En partant du centre et en travaillant concentriquement vers l’extérieur, les moines utilisent des entonnoirs métalliques appelés chakpur pour placer des millions de grains de sable teint pour faire les motifs élaborés. Les vibrations du chakpur étant râpées avec une tige métallique, les sables s’écoulent comme un liquide.

Quand ils ont fini, les moines se rassemblent pour une cérémonie colorée, chantant des sons profonds pendant qu’ils balaient leur mandala en demandant une bénédiction aux divinités. Cette action symbolise aussi le cycle de la vie et la destruction du mandala rappelle l’impermanence de la vie. Le sable coloré est emporté dans une urne et dispersé dans l’eau courante : une façon d’étendre les pouvoirs de guérison au monde entier. Il est considéré comme un cadeau à la terre mère pour redonner de l’énergie à l’environnement et à l’univers.
Selon les écritures bouddhistes, les mandalas construits à partir de sable transmettent des énergies positives à l’environnement et aux gens qui les regardent. On croit qu’ils agissent sur la purification et la guérison. La peinture sur sable Mandala a été introduite par le Bouddha lui-même et il existe de nombreux modèles différents de mandala, chacun avec des leçons différentes à tirer.

L’UTILISATION DES MANDALAS


Dans de nombreuses traditions où les mandalas sont utilisés, il existe différents rites où le pratiquant, au moins métaphoriquement, établit un dialogue avec le symbole ou la déité au cœur du mandala en se déplaçant progressivement de l’extérieur vers le centre.

Une fois à l’intérieur du centre, le pratiquant se connecte avec le symbole central ou la déité et il ou elle est capable de percevoir toutes les manifestations comme faisant partie d’un ensemble sous-jacent unique, et se rapproche du but de l’illumination ou de la compréhension parfaite.

L’école bouddhiste Vajrayana (bouddhisme tantrique), a un ensemble très complexe de rituels. Afin d’aider les disciples à acquérir l’illumination, ils utilisent un large éventail de disciplines et d’outils physiques, dont le mandala. Cette école croit que la réalisation de l’illumination par des méthodes traditionnelles exige beaucoup de temps, voire de nombreuses vies, alors que les méthodes utilisées dans le Vajrayana peuvent donner le même résultat, mais en l’espace d’une seule vie !

Le mandala en méditation


Le mandala représente un palais imaginaire qui est contemplé pendant la méditation. Chaque objet du palais a une signification, représentant un aspect de la sagesse ou rappelant au méditant un principe directeur. Le mandala a pour but d’aider à transformer les esprits ordinaires en esprits éclairés et d’aider à la guérison.

Au centre du mandala se trouve le palais, qui a quatre portes orientées vers les quatre quarts du monde et est situé à l’intérieur de plusieurs couches de cercles qui forment une barrière protectrice autour de lui. Chaque couche symbolise une qualité (par exemple la pureté, la dévotion, etc.) que l’on doit obtenir avant d’accéder au palais. Selon la tradition à laquelle il appartient, le palais a des symboles associés à différentes divinités ou symboles culturels tels qu’un éclair (symbole du mâle), une cloche (symbole de la femelle), une roue (noble chemin octuple) ou un diamant (symbole d’un esprit clairvoyant).
En d’autres occasions, les mandalas peuvent représenter une divinité particulière ou même un groupe de divinités. Dans ces cas, la divinité est placée au centre du mandala, tandis que d’autres divinités sont placées autour de l’image centrale. La divinité principale est considérée comme la force génératrice du mandala et les divinités secondaires sont considérées comme des manifestations du pouvoir de l’image centrale.

Les méthodes utilisées dans la création des mandalas sont très précises et impliquent différents rituels, y compris des chants de formules sacrées. Les mandalas peuvent être basés sur une variété de formes géométriques en utilisant des motifs qui ont évolué à partir de différents symboles.

Avant de méditer, il faut d’abord fixer une intention. Normalement, on choisit un mandala qui nous plaît. Il est bon de savoir ce que signifie le mandala que vous avez choisi, ou de définir votre propre signification/intention avant de vous concentrer sur ce mandala. Ainsi, avant de méditer sur le mandala, nous fixons l’intention de mieux comprendre notre parcours de vie, ou d’être guidés dans un domaine particulier, sur un chemin où nous éprouvons des difficultés.

Il faut ensuite laisser les yeux admirer la beauté des motifs, permettant à l’esprit d’errer comme il l’entend. Si l’esprit commence à se disperser (vous commencez par exemple à penser à votre travail ou aux tâches que vous avez à effectuer), il suffit de ramener votre attention sur la beauté du mandala. Entrez dans le mandala, nagez dedans, laissez-le absorber toute votre attention.
Chaque observateur vit des expériences différentes. Cependant, le consensus général est que la méditation avec le mandala amène une certaine détente et permet à chacun de repartir avec l’esprit clair quant à l’intention qui a été définie avant la méditation.

mercredi 22 avril 2020

Le Prānā





Le prānā est un mot sanskrit qui sert à désigner l’énergie vital présente en toute chose. Il n’existe pas de traduction littéraire du mot, qui comme de nombreux termes sanskrits, possède plusieurs significations. Le prānā signifie le souffle, mais aussi son principe vital, sa structure, sa manifestation organique.
Le prānā est une notion sacrée, c’est non seulement le fait de respirer (inspiration / expiration) mais aussi la vie qui est permise grâce à cette respiration. Il s’agit d’une réalité complexe, physique et métaphysique, matérielle et spirituelle.


L'approche spirituelle du Prānā

Selon les Upanishads (textes fondateurs de l’hindouisme), le prānā est une énergie primaire et universelle qui imprègne tout.
Il est donc présent en toute chose, dans la Nature qui nous environne, dans l’air que nous respirons, dans l’eau que nous buvons, (c'est pourquoi il est important d'absorber suffisamment d'eau chaque jour. Ainsi, l'énergie vitale peut pénétrer profondément en nous pour animer notre être.) 
dans les aliments que nous mangeons. Selon la qualité de ce que nous mangeons. Des aliments dépourvus de vitalité, ( chairs mortes, légumes et fruits cultivés de manière inadéquat, etc.) ne sont porteurs de prānā. Il les a en grande partie quittés.

Dans le corps, le prānā est présent à travers cinq Vayus (souffles) : prānā, Apana, Udana, Samana et Vyana. chacun de ces vayus possède des caractéristiques qui lui sont propres et un site de localisation.

prānā Vayu
Associé à l’élément air et au chakra du cœur (Anahata chakra), il soutient les organes vitaux en leur donnant de la force. C’est lui qui permet de recevoir, d’intégrer et d’assimiler ce qui rentre physiquement et subtilement dans le corps, qu’il s’agisse de nourriture, de perceptions, de l’air que l’on respire ou encore d’expériences mentales.

Apana Vayu
Ce vayu connecté à la Terre et au chakra racine (Muladhara chakra) permet d’éliminer ce qui devient superflu. Il est assimilé aux reins, au colon, au rectum et donne de la force au moment de l’accouchement. Il entre en compte dans le sentiment d’ancrage, la stabilité physique et émotionnelle.

Samana Vayu
Relié au feu ainsi qu’au chakra du plexus solaire (Manipura Chakra), il joue le rôle de coordinateur des deux précédents vayus. Il est aussi étroitement lié à la digestion, afin d’éliminer ce qui doit l’être et de conserver les nutriments provenant de l’alimentation.

Udana Vayu
Situé dans la gorge et connecté à l’élément éther (qu’on peut traduire par le vide), il est important pour le fonctionnement des sens (vue, ouïe, odorat) ainsi que pour l’expression orale, et l’expression de soi. Son mouvement ascendant permet de purifier Ajna Chakra (3ème œil, situé entre les yeux).

Vyana Vayu
Symbolique de l’élément eau, son organe associé est la peau. Il coordonne et permet la cohésion.
Bien que distincts et ayant chacun une fonction propre, ces vayus interagissent et fonctionnent ensemble. Ils sont solidaires et complémentaires.



Par quel moyen le prānā circule-t-il en nous ?

Avec la respiration, le prānā circule en vous, à condition qu’il n’existe pas de blocage. Ces derniers peuvent parfois expliquer les problèmes plus profonds que l’on ressent de manière inexpliquée : douleurs musculaires, blocages, mal-être, angoisse, etc. si le prana ne peut circuler, se crée en effet des accumulations néfastes, des blocages. Il peut y avoir, à l’inverse, des espaces vides dits en manque d’énergie.

Le prānā est donc ce principe de vie et cette force animant le principe. C’est lui qui nous permet d’être et que nous devons cultiver, que nous devons rechercher, pour nous sentir débordants de vie, pour que la vie jaillissent en nous et de nous. C’est le prana qui, en grande partie, nous fait nous sentir si bien dans les grands espaces quand d’autres lieux nous sont indifférents.

vendredi 17 avril 2020

Mantra-Mala


Quelle est la définition d'un Mantra?



Les anciens sages en Inde et au Tibet ont gardé secret ces formules sacrées composées de phonèmes issus du sanskrit.
Le grand sage  Sogyal Rinpoché définit les mantras comme étant « ce qui protège l’esprit »
Un mantra est composé d’une ou plusieurs syllabes qui sont récitées en boucle.
La composition de chaque mantra est basée sur de règles mathématiques très précises.
Contrairement aux idées reçues, les mantras ne sont pas exclusivement liés au bouddhisme, on retrouve également ce type de pratique dans d’autres philosophies ou religions ainsi qu’à travers le globe en Asie et en Occident.


Om mani padme hum

Le mantra a travers les ages

L’origine des mantras remonte aux textes sacrés appelés « Vedas ». Ces textes sont tellement anciens, qu’ils sont considérés comme étant le recueil littéraire le plus ancien connu à ce jour, ces écrits ont été rédigés avant même l’existence de l’empire Grecque.

Un mantra, comment ça marche ?

Pythagore, qui est l’inventeur des mathématiques et de l’astronomie moderne a été l’un des premiers érudits à faire des recherches sur les effets des sons sur la psyché ainsi que sur les états émotionnels et spirituels. La pierre angulaire du discours de Pythagore sur l’influence des sons est basée sur le concept que les qualités d’un objet sonore peuvent être transmises à celui qui écoute et entend le son.

Des chercheurs de L’université du Michigan ont démontré les effets de certains sons sur le corps humain

Des études scientifiques de l’Université d’Etat du Michigan plus récentes ont démontré l’effet des sons sur le corps humain, plus spécifiquement sur les taux d’interleukine mesurés dans le sang. Les interleukines sont de la famille des protéines et permettent entre autre de stimuler les protections naturelles contre le Cancer et le HIV.
La puissance des mantras ne vient pas de leur signification mais plutôt des effets vibratoires créés par chaque syllabe quand elles sont prononcées de façon répétée.
Les mantras sont également très utiles en tant que support de méditation car ils vous permettent de beaucoup plus facilement faire le vide et d’éviter de vous faire assaillir par un flot de pensées continues.
Comme tout dans l’univers vibre à une certaine fréquence, le fait de réciter un mantra permet d’induire la résonance de ce mantra dans votre corps et votre esprit. Après avoir atteint un certain niveau de résonance, et comme indiqué dans la tradition soufiste, vous n’avez plus besoin de réciter le mantra car c’est le mantra qui se récite en vous. Ce phénomène est très simple à percevoir, après avoir commencé vos récitations régulières d’un mantra, vous pourrez constater que même si vous ne pensiez plus à ce mantra, le mantra revient dans votre tête et vous recommencez la répétition, un peu comme ces chansons entêtantes qui reviennent encore et encore.

Que pense le Dalaï Lama de la récitation de mantra ?





« Il est très bénéfique de réciter le mantra Om mani padme hum » à cette phrase il rajoute également que pendant la récitation on doit penser à la signification de ces syllabes. Selon le Dalaï Lama ce mantra signifie qu’avec méthode et sagesse on peut transformer l’impureté de son corps, de son discours et de son esprit en un corps, un discours et un esprit exalté et pur d’un Bouddha.

Les secrets du plus ancien mantra Bouddhiste, « Om mani padme hum »

Le mantra « Om mani padme hum » est souvent représenté en gravure sur des pierres, des tissus ou des maisons
Ce mantra composé uniquement de six syllabes qu’il faut prononcer « hom-ma-ni-bê-mê-houm »est le mantra national du tibet, il est également l’un des mantras les plus connus du bouddhisme. Comme nous venons de le voir ensemble, ce mantra est reconnu par le Dalaï Lama comme une récitation très bénéfique.
Chacune des syllabes de ce mantra représente l’une des six vertus transcendantes à savoir la générosité, l’éthique, la tolérance, la persévérance, la concentration et le discernement.
Ce mantra reste complexe à traduire néanmoins l’adaptation du sanskrit  correspond à « hommage au joyau dans le lotus »


Mantra, puissance et répétition

Le mala est composé de 108 perles

Toute la puissance de chaque mantra provient de la répétition de ce dernier. Il existe un chapelet utilisé par les hindous et les bouddhistes qui s’appelle un « mala ». Composé de 108 perles il permet d’aider la personne qui récite ce mantra à faire des séries de 108 répétitions .
Il est recommandé de rester concentré sur un mantra pendant une période de quarante jours, période pendant laquelle vous pourrez répéter le mantra le plus souvent possible. Pendant ces quarante jours il vous faudra également prévoir deux moments dans la journée pour une pratique de méditation plus formelle, pendant laquelle le support de votre méditation sera la répétition de ce mantra 108 fois. (pour une pratique plus intense vous pouvez également augmenter le nombre de mala que vous effectuez par session).

jeudi 16 avril 2020

Namaste






NAMASTE NE VEUT PAS DIRE MERCI

Publié le 1 décembre 2013 par Laurence Gay.

Pour ceux qui ne font pas de yoga, je dois préciser les choses. En fin de cours, il est courant pour les élèves et le prof de s’adresser un mot : Namasté.

Les gens font ce rituel de manière quasi systématique sans nécessairement savoir ce que ce mot signifie. Lorsque je demande aux élèves ce que veut dire Namasté, je m’entends parfois dire : « C’est merci en sanskrit ».

Merci est un mot puissant, mais Namasté couvre un registre plus large, celui de la reconnaissance de l’autre comme étant soi.

Définition de Namasté : Mon âme salue ton âme. En toi, je salue cet espace où réside l’univers entier. En toi, je salue la lumière, l’amour, la beauté, la paix parce que ces choses se trouvent aussi en moi. Parce que nous partageons ces attributs, nous sommes reliés, nous sommes semblables, nous ne sommes qu’un.

Ca fait vibrer, pas vrai? Dorénavant, je sais que vous ne regarderez plus les autres élèves et votre prof de yoga de la même manière quand vous adresserez le Namasté. Il se peut même que vous ressentiez un frisson de joie en plein cœur.

AUM



Le AUM est une vibration

Le AUM est une syllabe sanskrite issue des textes religieux hindous. On le retrouve dans l’hindouisme et le Bouddhisme essentiellement.

Syllabe sacrée, le AUM est un »mantra graine », c’est à dire qu’il est à l’origine de tous les autres mantras ( un mantra est un mot ou groupe de mots que l’on répète ou chante ). Il est considéré comme le plus important des mantras.
Ce son pourrait être entendu dans un parfait et total silence. C’est un son « au delà du son ».
C’est un son naturel, le bébé qui vient de naître prononce ce son dès les premiers sons qu’il sort.

Cette vibration représente le son universel de la création tout entière. Cette vibration est à l’origine de tout autre son, de tout langage. Elle englobe dans sa vibration la totalité de ce qui existe.
C’est le symbole de l’univers absolu et infini, du passé, présent et futur. Tout l’univers est créé dans ce son unique, y repose un temps, puis se fond à nouveau dans la vibration.

Les trois lettres du AUM
Les trois lettres A,U,M représentent la combinaison des 3 énergies qui constituent le cycle de la vie.

Chaque lettre a une signification particulière :

La lettre « A » représente Brahman, le dieu créateur. C’est le monde terrestre, la création, le commencement, la naissance.

La lettre « U » représente Vishnou, le dieu protecteur. C’est le monde intermédiaire, le rêve, la continuation, la vie.

La lettre « M » représente Shiva, le destructeur. C’est la force centrifuge, le sommeil, la fin, la mort. « M » est l’état de sommeil profond, le monde céleste.

Ce cycle se répète à l’infini : tout nait, vit un temps, puis meurt et retourne se fondre dans l’univers, le grand Tout.
Le AUM est la représentation des 3 phases de la vie.

Pourquoi chanter le AUM ?
Chanter le AUM favorise l’intériorisation et est un excellent anti stress.

Lorsque l’on chante le son AUM, notre vibration se connecte à la vibration de l’univers. On se connecte pour un temps à la plus haute et pure forme de conscience. On devient UN avec le grand Tout, on retourne à notre essence primordiale.

Les trois lettres résonnent dans tout notre corps, de bas en haut, et les vibrations aident à purifier et activer tous nos chakras. Les yogis le chantent afin d’ouvrir le 7e chakra.

Lorsque vous chantez le AUM, votre esprit devient plus concentré, plus calme, votre corps aussi se détends. Vous êtes alors dans de meilleures conditions pour méditer.
Chanter le AUM tous les jours quelques minutes peut être une manière naturelle de réguler ses émotions ou son stress.